Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
le blog des fanas de livres
le blog des fanas de livres
  • Je lis pour m'évader, avancer, ressentir des émotions et des sensations, rire, vibrer, pleurer, comprendre, m'ouvrir à de nouvelles cultures, rêver, trembler... et j'ai bien envie de le partager avec vous.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
3 décembre 2008

Vorkeul, de Honaker MIchel

Dans la catégorie, mercredi, jour des enfants :

   9782081613300 9782081613317 9782081613294

Ils’agit en fait d’une trilogie de science fiction:

-         Le chant du Vorkeul

-         Le rêve du Vorkeul

-         La haine du Vorkeul

Les Vorkeuls sont des êtres repoussés par la population parce qu’ils sont laids et capables de cruauté. Ce sont des créatures dotés de "cage" : organe leur permettant d'imiter le moindre des sons de l'univers (fontaine, vent...) et de chanter. Il y a plusieurs sortes de chants (le chant de haine, de mort mais aussi d'amour...). Des collectionneurs  veulent s'approprier ces cages qui sont toutes uniques.

Dans ces livres, on suit l’histoire de Sharn un Vorkeul a qui on a volé sa cage, puis de Nick, son fils : ils sont très attachants et on découvre qu’ils ne sont pas si méchants que ça.

J’ai trouvé que c’était très attachant. Un peu dur d’accrocher au début mais passé les 20 premières pages on ne lâche plus le livre. Et c’est très bien écrit.

Cet auteur avait été recommandé à maman par Théo que je remercie au passage.

A partir de 12 ans

Extrait : « Le Dédale était sombre et immense. Mouvant aussi. A chaque instant imperceptiblement différent, et cependant identique. Le Dédale était une créature. Une créature close. Ses inconcevables méandres visqueux paraissaient s’étirer à l’infini en mirages métamorphes, en pièges obscènes. Mortels. Le Dédale était un monstre. Un enfant cruel. Il se nourrissait du désespoir des victimes enfermées dans son ventre. Heure après heure, il inventait de nouvelles illusions, de nouveaux leurres. Feignait d’imaginaires issues. Il jouait ainsi. Puis se refermait. Immuablement. »

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité