Et c’est là que tu danses, de Dominique Valle
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Roman reçu lors de l’opération Masse Critique fiction. J’avais été attirée par le titre, la couverture toute douce et quelques critiques élogieuses qui parlaient de l’écriture poétique, point qui est important pour moi.
Dans les années 80, Louis, parisien de 14 ans, vient travailler l’été dans une ferme sur les rives de la Saône. Il va faire la connaissance de Nina, une jeune fille qui a dû fuir l’Argentine avec ses parents. Une entente mêlée d’amour va se nouer entre les deux. Mais l’été prend fin.
La vie de Louis sera alors faite d’attentes, de rencontres, d’amours, de drames et de danses.
L’écriture est à la première personne du singulier.
Est-ce cette distance dans l’écriture ? les longs passages sur la danse ? les atermoiements de Louis ? Toujours utile que je suis passée à côté de cette lecture qui ne m’a pas emportée. J’ai juste eu un moment de grâce dans un chapitre consacré à la sœur de Nina.
Tant pis pour moi !
Extrait : “Il y a ici surtout toi, si belle et troublante, si permanente Nina ; toi, que je vois en fin de semaine et chaque soir, après le repas ; toi, baume délicieux, qui a changé ma vision des choses et jusqu'à ma capacité de résistance à l’effort”.