La petite-fille de Bernard Schlink

Et bien autant le dire tout de suite, je suis complètement passée à côté de ce livre !

4e de couverture : A la mort de son épouse Birgit, Kaspar découvre un pan de sa vie qu'il avait toujours ignoré : avant de quitter la RDA pour passer à l'Ouest en 1965, Birgit avait abandonné un bébé à la naissance.

Alors ça, c'est la première partie, qui dure 131p. et j'ai trouvé ça très long autant de pages pour deux lignes de résumé.

Intrigué, Kaspar ferme sa librairie à Berlin et part à la recherche de cette belle fille inconnue.

Donc, une jeune fille dont les parents ou l'ex-ami n'ont aucune nouvelle, mais que Kaspar va retrouver en quelques jours. Assez improbable.

Commence une partie qui m'a plus intéressé : le rapport avec sa petite fille. Une petite fille qui a grandi dans une idéologie d'extrême droite et que son grand-père va essayer d'ouvrir à une autre culture. J'ai aimé cette relation qui se noue, cet espoir même si j'ai trouvé que leur rapprochement est trop rapide.

En plus de l'histoire que j'ai trouvé un brin caricatural, je n'ai pas aimé l'écriture que j'ai jugé lourde et académique avec peu d'émotion. Des doubles pages sans paragraphes ne donnent pas envie de s'y plonger.

Bon, et bien je suis passée à côté de la subtilité de ce roman. Tant pis !